dimanche, décembre 28, 2008

mercredi, décembre 24, 2008

mardi, décembre 23, 2008

the PoniCalendrierClub de l'avent #17

Demain c’est noël. Déjà. Le temps passe si vite en décembre je trouve, et pourtant on en a fait des choses. Pour moi noël c’est un peu la fin de l’année. Les jours entre le réveillon et le jour de l’an sont comme des jours vides. Des jours d’attente sans grand intérêt. On digère généralement.

Chez moi noël est vraiment une très belle fête. C’est à coup sur une belle soirée en famille. Je n’ai pas à me plaindre, je sais que je rigolerais beaucoup. Mais je sais aussi que cette année ça ne sera pas pareil. Mon cercle familial direct sera plus proche que les autres fois. A table je marquerais surement un temps de pause sur mes sœurs, ma mère. Je sais que je ne suis pas très vivable dernièrement, et ca ne me ressemble pas vraiment. Enfin si, j’ai toujours été un petit con, mais la plus que d’habitude.

Ce soir j’hésite entre deux vidéos. Il y a une que j’ai redécouverte il y a quelques heures, cruelle et puissante, et une autre qui ma porté quand je n’avais pas les épaules, naïve et joyeuse. Je vous invite à allez voir "Handlebars" de Flobots, et je vous présente "Somebody somewhere" de Cazals. J’aime ces chaussures blanches qui sautillent sur ces trottoirs gris, les petits pas de souris, cette chemise qui tourbillonne, les grands ronds que font ces bras, enfin…



lundi, décembre 22, 2008

the PoniCalendrierClub de l'avent #16

Je me tâtais depuis un certain temps à sortir de mon chapeau magique quelque chose traitant d’adaptations médiocres de jeux vidéos, de comics ou de mangas dans leur version live : avec des vrais acteurs de chair et de sang, essayant désespérément d’incarner des personnages ayant des biceps d’un mètre de diamètre ou des poitrines surpassant tout les bonnets jamais imaginés.
J’avais une pensée toute particulière pour la venue au monde de Dragon Ball Ze movie. Film grandiose dans lequel Sangoku est incarné par un acteur de 14 ans tout droit sorti de High School Music Hall ou Dawson. Le summum du navet promis à nos yeux avides d’anciens fans du Club Dorothée.

Aujourd’hui, alors que j’errais lamentablement sur des sites inutiles (donc indispensables) je suis tombée sur le trailer de Megaman, le film, en live s’il vous plait.
A mon grand désarrois, il ne s'agirait que d'un film non officiel et sachez que j'en suis bien triste. Cependant, Megaman surpasse tout ce que j’ai vu jusqu’à lors, en terme de cumul d’hommages à tout un tas de choses diverses et variées pour lesquels j’ai un attachement tout particulier : d’abord le film amateur, qui a égayé ma jeunesse et n’a cessé de susciter en moi une certaine frustration de n’avoir aucun superpouvoir. Un hommage également au premier degré, au sérieux, à l’absence de recul sur soi (en témoigne le site officiel) pour lequel, du moins j’ose l’espérer, j’éprouverai toujours une sorte de fascination malsaine due à l’incompréhension. Également une ode à la moustache, sorte d’accessoire physiologique que je regrette de ne pouvoir porter sans risquer la fuite de mes semblables. Une déclaration d’amour faite au carton-pâte, un témoignage de l’admiration que nous devrions tous avoir pour les perruques criardes, les costumes incomplets, les effets spéciaux fabriqués avec Paint.
Enfin un immense merci à l’une des premières générations de geek sans qui Megaman le film, et de manière moins direct, le Poniclub n’auraient probablement aucune raison d’exister. Merci les gars, vous dominerez la planète un jour. Sinon je vous lécherais pas les bottes comme ça.

dimanche, décembre 21, 2008

the PoniCalendrierClub de l'avent #15

Waouw, tu commences à les sentir les chocolats, surtout le dernier. Malgré cette véritable boulimie de plaisir plus intense que la plus grosse cuillère de Nutella de ta vie, tu continues, tu récidives. BeyonSouen n’a pas réussi à te faire fuir avec cette débauche sexuelle d’elfes en slip, de sueur, de champagne coulant à flot, de phallus géant en néon, et… ho la belle pine ?

Alors tu dois être prêt pour l’énigmatique fille au poireau. N’ai pas peur, il n’y a rien que famille de France stigmatiserait dans cette vidéo. Tu as le droit de profiter de ce pur bonheur, même si tu es mineur. Certes, une fille… un poireau… ton vil esprit devine de suite à quoi je fais allusions. Tu t’en souviens vaguement, tu l'as déjà vu en trainant sur des sites bizarres après ta soirée en boite de nuit ou tu es rentré saoul et bredouille… alors pour Noël régalons nous encore une fois !

>>> Ho oui clique-moi fort, fais-moi mal avec ta souris ! <<<

ps 1 : Tu ne t’en doutes pas une seule seconde, mais la chanson vient d’un vrai groupe ! tu ne peux surement pas voter pour eux dans le Mouv, mais tu peux les trouver sur youdailytubemotion en tapant fort loituma.
ps2 : Fichtre c’est le 100ème post ! Ô joie ! Ô bonheur ! Pour l’occasion… en fait non, on a rien prévu, tu as déjà un calendrier de l’avent digne d’un roi de Babylone.
ps3 : achète pas gars, c'est de la daube.
ps4 : Ah putaing, j'ai mes Nike WindRunner TR2 <3>

samedi, décembre 20, 2008

the PoniCalendrierClub de l'avent #14

Ouhlala, on est samedi et dans quatre jours c’est Noël. Ouhlala, vous ne savez toujours pas quoi apprendre comme chanson pour célébrer la venue au monde du messie de certain. C’est le drame. Mais le poniclub est là pour te sauver. Ouhlalala.

vendredi, décembre 19, 2008

the PoniCalendrierClub de l'avent #13

Alors quand j’étais môme il y a un film que je n’avais pas bien compris. En fait quand on est môme il y a plein de film qu’on ne saisi pas trop. Charlie, mon héros, l’histoire de ce chien qui va au paradis m’avait traumatisé et empêché de dormir pendant 6 mois, allez comprendre pourquoi...

Donc pour en revenir à ce film, qui n’a laissé dans ma mémoire qu’un point d’interrogation brumeux sur une histoire de mec dans la neige sans ski, je suis tombé bien des années plus tard sur le jeu pc ! Quelle fantastique occasion cela avait été de me remettre en tête cette histoire de mec au ski sans ski. Le jeu était plutôt mauvais d’ailleurs, mais il m’a permis de braver ma peur, et ainsi par la suite j’ai pu ressortir ce bon vieux divx et le mater en entier (j’aurais aimé dire une vhs mais ce n’est pas bien de mentir).

Je vous parle de The Thing de John Carpenter, alors inutile de vous dire que le jour ou je suis tombé sur le clip ci-dessous de ZOMBIE ZOMBIE, j’été complètement fan. Je vous laisse vous régaler :



jeudi, décembre 18, 2008

the PoniCalendrierClub de l'avent #12

        Il y a une semaine, j’errais nonchalamment dans le grenier d’une librairie ; dans ce grenier, ils entreposent leurs bouquins d’occasions ; une galerie de livres qui va d’une édition collector cartonnée des Hauts de Hurlevent aux reventes d’achats scolaires forcés d’Eugénie Grandet. De tout et du n’importe quoi qui sent la poussière et sur lequel on trouve le nom d’un élève déjà dégouté de la littérature sur la première page.

        Dans ce fourre-tout j’ai découvert le Vespa fait livre, le lecteur de cassettes audio version papier, l’équivalent éditorial du Polaroid, le summum du vintage, qui nous calme tous notre joie en nous rappelant que c’est pas Akroe qui a inventé le fluo, la couleur criarde et le grillage de rétine. Ami lecteur je te présente mon trésor le plus récemment acquis, j’ai nommé l’édition 1967 de Notre Dame de Paris, encore vierge et jamais ouvert, qui est là pour bruler ta cornée et t’apprendre ce qu’est la réelle harmonie colorimétrique.

        Je tiens par ailleurs à m’excuser de la piètre qualité de la photo, mais d’une je suis pas équipée, de deux, je sais pas faire.


mercredi, décembre 17, 2008

the PoniCalendrierClub de l'avent #11

J'avoue que Lodger n'est pas un coup de cœur de l'année, c'est beaucoup plus vieux que ça en fait. J'ai honte vraiment. Mais c'est pas grave je m'en fou, et toi aussi, car tu attend ton petit chocolat avec impatience.

Oui mais alors lequel ? j'hésite. Praliné, noisette, menthe, cerise, blanc, au riz, noir, au lait, raisin, hummm.... Il est temps que je t'offre Dabaaz alors. Il laissera en toi un doute comme maintenant : J'aime ? J'aime pas ? Un refrain de merde contre quelques jolies rimes, une jolie mélodie et de bien belles images contre quelques positionnements douteux. Chacun retiendra ce qu'il veut.

Je sais que BeyonSouen va crier au scandale et invoquer les plus terribles démons du féminisme, mais de mon côté, j'ai gardé ce clip parce qu'elles sont quand même bien jolie ces demoiselles. Parce qu'elles ont pas l'air d'être triste et qu'elles s'amusent bien. Parce que se noir et blanc est sublime et parce que cette mélodie met resté en tête longtemps.


mardi, décembre 16, 2008

the PoniCalendrierClub de l'avent #10

En ce bien beau mardi où on se les gèle, la team Poniclub t’offre un coup de cœur existentiel qui date d’il y a plus de dix. Okay on est censé présenter nos coups de cœur de l’année, mais étant donné qu’il a été rediffusé hier soir ça compte comme faisant partie de l’année.

Je tenais à rappeler à vos mémoires émoussées par le temps qui passe, l’existence de ce personnage de fiction à la répartie encore inégalée : Bernadette Bassenger, extraite du fantastique road movie The Adventures of Priscilla, Queen of the desert. Comment décrire Bernadette sans dénaturer son propos, sans transformer son élocution qui suggère à nos oreilles avides de beauté l’existence d’un dieu de la rhétorique, incarné dans le corps d’une transsexuelle quadragénaire ?

Et bien je vais vous laisser vous démerder, j'en ai marre de faire tout le boulot, et vous aller donc vous diriger vers votre vidéoclub pour apprécier Bernadette à sa juste valeur. Je vous laisse avec deux avant-goûts dont vous saurez quoi faire, je n'en doute pas un seul instant.



Ecoute ma jolie, pourquoi t’irais pas allumer la ficelle de ton tampon pour te faire exploser la tirelire, parce que c’est bien le seul moyen que t’auras jamais de te faire sauter.

lundi, décembre 15, 2008

the PoniCalendrierClub de l'avent #9

Joie et bonne humeur. Même sa vie est mieu que la mienne sans déconner (et pourtant il a qu'un œil).

dimanche, décembre 14, 2008

the PoniCalendrierClub de l'avent #8

Aujourd'hui rendons hommage à tout ceux qui sont incapables de faire quoi que ce soit un dimanche avant 19h parce que leur foie, leur dos, leur estomac, leur gorge, leurs cheveux, bref, leur corps est en souffrance: ils ont la gueule de bois.
Et le pire dans tout ça c'est que tout l'alcool que le reste du monde a ingurgité n'a pas réussi à les rendre plus attirants, plus brillants ou moins gauches que d'habitude, et qu'en ce funeste samedi soir, ils sont encore rentrés seuls, privés de la partie de jambes en l'air du saturday night yeah.

Saluons les en musique, parce que nous aussi, on est comme eux et qu'on le vaut bien.


samedi, décembre 13, 2008

the PoniCalendrierClub de l'avent #7

J'aimerais beaucoup pouvoir poster "A cross the universe" mais ça risquerait d'être long et pas très légal. Par chance j'ai retrouvé cette vidéo que j'avais perdu. Je sais pas vraiment de quoi il s'agit, mais visuellement il y a de bonne chose, après musicalement, les goûts et les couleurs hein...


TREM
envoyé par laab4

vendredi, décembre 12, 2008

the PoniCalendrierClub de l'avent #6

Aujourd'hui un petit conte de Noël qui ne concerne pas du tout Noël. Mais vu qu'il est long pour un blog et que je crains l'overdose de mon public chéri que je sous-estime probablement en disant cela, je vous laisse profiter du spectacle et ferme ma grande bouche.

"[…] C’est d’ailleurs ainsi que le carnaval est venu pour la première fois à Venise. Il y avait la peste, les gens tombaient mort dans les rues et toutes les prières avaient échoué… La peste était devenue tellement arrogante, elle avait pris une telle assurance de grand seigneur, qu’elle ne se cachait même plus, comme elle le fait d’habitude, elle ne se tenait plus dans les coins et on la voyait vêtue de ses horribles oripeaux avec sa tête de mort bien visible car elle ne se gênait plus et ne portait même plus le masque… Partout, sur son passage, les gens tombaient. Elle marchait en s’appuyant sur une canne de chambellan et derrière elle marchaient les scribes qui notaient la récolte. Mon grand-père se souvenait très bien de l’avoir vue, au bord du canal Luna : elle s’était arrêtée parce qu’il y avait là l’église de Saint-Innocent, qui était pleine de gens ; ils priaient pour que la peste s’en aille. La peste adore les gens qui prient, parce qu’elle aime le sérieux. Sans le sérieux, sans le respect, la mort est démoralisée, elle ne se sent pas assez importante et elle ne travaille pas aussi bien. Les gens qui manquent de sérieux donnent à la mort la colique. Elle aime l’ordre, l’obéissance, la gravité, la rigueur. Mon grand-père crut que son dernier jour était venu, parce que la peste était à dix pas devant lui, à priser du tabac, en écoutant les prières. Il a ôté bien vite son chapeau et lui a fait une belle révérence, croyant la désarmer, car les grands de ce monde aiment la soumission. La peste ne l’a même pas remarqué, tant elle était en train de jouir des prières ; elle referma sa tabatière et regarda avec impatience vers les scribes qui faisaient leurs comptes : il y avait plus de trois cents personnes dans l’église. Une bonne récolte. Alors la peste est entrée. Mon grand-père allait prendre ses jambes à son cou lorsque tout à coup il entendit des trompettes et des rires. Il tourna bien vite la tête et c’est alors qu’il vit le carnaval qui entrait. Au premier rang, il y avait les saltimbanques, les jongleurs et les acrobates, puis derrière venaient ceux qui devaient plus tard devenir célèbres, Arlequin, Brighella, Pantalon, Colombine, les polichinelles, et tous les autres, bien qu’il manquât à certains des détails, des traits : ils n’étaient pas encore au point. Du ciel tombait la neige italienne, bleue, verte, jaune et rouge, que l’on appelle confettis. La peste est sortie de l’église pour y mettre bon ordre mais voilà, les saltimbanques du premier carnaval, tous les polichinelles et tous les paillasses, étaient tirés par des ficelles qui montaient au ciel, où ils étaient tenus fermement en main par le plus grand saltimbanque de tous, le grand Zaga, en quelque sorte, et dès qu’ils ont vu la peste noire sortir de l’église, ils ont commencé à rire encore plus fort. La peste, quand elle a entendu le rire et qu’elle a vu qu’on ne la prenait plus au sérieux, elle a eu très peur et elle s’est enfuie vers des endroits où le sérieux règne en maitre […]. C’est comme ça que la République de Venise a été sauvée par le carnaval et c’est aussi la première fois que le peuple a compris quelles armes puissante le rire et l’irrespect pouvaient devenir, et c’est ainsi qu’est née la commedia, l’Arlequin et la liberté. C’est pourquoi jusqu’à ce jour toutes les pestes du monde craignent le rire par-dessus tout, car celui-ci possède des vertus désinfectantes qui sont fatales aux puissants…"


extrait d'un bien beau roman intitulé Les Enchanteurs de Romain Gary qui est lui aussi bien beau. Love sur vous mes enfants.



jeudi, décembre 11, 2008

the PoniCalendrierClub de l'avent #5

Bon comme je sais que beaucoup d’entre vous ont de graves lacunes musicales, j’ai décidé de combler ce vide grâce à télé poils. Non ne me remerciez pas, remerciez kiki. Roulez jeunesse !

mercredi, décembre 10, 2008

the PoniCalendrierClub de l'avent #4

Nous sommes à J - 15 les enfants, et aujourd'hui c'est Brenda, la stagiaire qui taille le mieux les haies du monde qui va s'atteler à embellir ton quotidien morose.
Tu noteras qu'elle tente de se faire passer pour moi dans la vidéo qui suit. Mais ne me sous-estime pas cher internaute, car mon intérieur est de bien meilleur gout que ce que tu vas voir, ma voix nettement plus cristalline que celle que tu vas entendre, et mes doigts beaucoup moins boudinés que ces saucisses apéritifs qui tente de démontrer la beauté de l'inventivité humaine.
Sur ce, je vous laisse savourer.


Et si ça ne t'a pas fait kiffé la vibe, tu peux toujours te faire du bien en chantant très fort et très faux ce qui suit. Du concentré de bon gout deux en un. Merci qui?




mardi, décembre 09, 2008

the PoniCalendrierClub de l'avent #3

Tu l’auras vite compris jeune lecteur passionné, le PoniClub va t’offrir des folies. On va te faire rêver, et pour cela on est prêt à aller très loin! Enfin, on va essayer du moins...

La formidable équipe rédactionnelle que nous sommes, BeyonSouen et moi plus 12 stagiaires allons faire tout notre possible pour te faire rêver (surtout les stagiaires, parce que en vrai, on en a rien à foutre). Tu a envie de neuf, d’exceptionnelles images et tu ne t’es pas trompé d’adresse. Alors met ta ceinture et coiffe ta plus belle moustache pour Autokratz.


lundi, décembre 08, 2008

the PoniCalendrierClub de l'avent #2

Aujourd’hui comme petit chocolat qui va réjouir ton petit cœur, mais qui en réalité ne fait rire que moi, voici ce qui aurait pu être l’hymne officielle du PoniClub. Mais comme toute lopette qui se respecte, étant donné que son auteur est un personnage particulièrement controversé, situé quelque part entre l’abruti aveugle et le petit nazillon, que nous souhaitons que ce blog reste politiquement correct, que nous souhaitons que notre image de gauchistes révoltés reste préservée, nous te l’offrons juste en attendant Noël, pour que t’en fasses ce que tu veux. Nous on s’engage pas à en faire notre hymne, tu te démerdes tout seul avec Dieudo et son image, parce que moi d’une je m’en cogne, et de deux ça m’épuise.

Enjoy !



dimanche, décembre 07, 2008

PoniClub Entertainment présente :

Votre calendrier de l'avent made in PoniClub ! Et oui on est chaud la, on se lance dans le calendrier de l'avent en retard. Au programme, un chocolat par jour comme un vrai calendrier de l'avent hein.
"- Mais enfin père castor comment tu va nous donner du chocolat à travers l'écran lol ?"

Mais non petit con, le calendrier de l'avent du PoniClub sera fait de vidéo, de musique, d'image, de dessin de merde, de texte à la con, enfin de tous ce qui nous a marqué, qui nous a fais plaisir cette année, qu'on a envie de partager avec toi, et qui comme un doux chocolat praliné, fondra dans ton petit coeur ! Et comme je suis le premier à me remettre de cette soirée plus qu'étrange qui était hier soir, je t'offre, pour le dimanche 7 décembre 2008 : l’ami portoricains le plus cool de la terre, celui qui n'a pas peur des pulls all-over-multi-couleur-style-écureil-volant, celui qui a tué son coiffeur, j’ai nommé :



Edith et souen tapent l'incruste pour un petit message à caractère publicitaire: si toi aussi tu aimes ce groupe étrangement vêtu, que tu rêves de l'entendre à la radio quand tu t'éveilles le matin, que tu as envie que cette chanson finisse par être diffusée 10000 fois par jour au point que tu ne puisse plus la supporter, tu peux aller voter pour elle ici.

vendredi, décembre 05, 2008

Prend ta claque

Parce que je la sens gros comme une maison...

mercredi, décembre 03, 2008

A ba c'est finie crame ?

C'est bientôt les fêtes, et au Poniclub, généreux comme nous sommes, on vous lâche déjà des cadeaux de ouf !

Ta gueule la chouette





Voilà on est en décembre. L’ami Ketchwest vous a pondu une nouvelle interface qui pique les yeux, au point que je la décris clignotante alors qu’elle l’est même pas. Quant à moi, pour marquer le nouveau mois, je décrète officiellement, avec l’accord de personne, que ce mois sera le mois du « ta gueule ».


Entamons par le récit de cette chouette journée, de 9h du matin à 23h57.

9h : mal de crâne immonde : j’appelle ma Doc. Ah bah non, dans le cul Lulu, pas de rendez-vous avant jeudi. Ahaha, je suis en train de mourir d’un rhume qui me fout une fièvre de veau agonisant alors que j’ai jamais de fièvre. Si, la dernière fois c’était il y a trois ans. J’ai l’impression d’être une enclume constituée de blanc d’œufs en neige.Chouette alors.


12h : je me re-réveille. Mal de crâne immonde. Direction les chiottes. Là je trouve du sang au fond de ma culotte. Après dix secondes de panique je me rappelle que je suis une gonzesse et que ça fait dix ans que j’hemoragise mensuellement. Et ça s’arrêtera pas avant une trentaine d’année. Soupir de dégout. Puis une sensation familière me titille le rein. Comme si un gars construisait des petits châteaux à l’intérieur de ma paire de viscères. Oh, joie. Le retour d’Arthur. Arthur c’est le gars qui me fait des calculs rénaux. Un truc où tu douilles ta mère quand ça arrive sauf que tu sais pas quand ça va arriver. Donc je me prépare psychologiquement à morfler.Youpi, youpi.


13h 45 : je me traine au boulot parce que si j’y vais pas, je perd 35€. Rappelons à mon cher lectorat que je vis avec 200€ par mois, donc je ne peux pas me permettre d’en perdre un sixième. Quitte à faire l’effort de ma vie pour avoir l’air attentionnée avec un petit garçon de 2 ans en faisant abstraction de mes membres de mousse et de mon mal de crâne immonde.Re chouette alors.


16h : Je me traine à la banque pour y poser de quoi payer mon loyer. 200 € en liquide. Je suis les instructions de la machine et la laisse manger mes billets. J’attend. J’attend encore. J’attend toujours. «Opération annulée. Reprenez votre carte. Nous conservons vos billet». Chouette, chouette, chouette.


18h : Je me traine chez un docteur inconnu. Salle d’attente pleine. Dont deux frangins de moins de six ans qui s’ennuient et donc foutent un bordel monstre sous l’œil non attendri de leur mère qui ne trouve à leur dire qu’un nonchalant « je m’en fous ». Ils me donnent un mal de crâne immonde. Toujours chouette.


19h30 : le médecin me reçoit enfin. Antécédents médicaux ? Oui, du calcul et le machin de la psychose sur le cancer du col de l’utérus. Et on vous l’a enlevé le machin mademoiselle ? Bah non. Ah bah il faudrait. Et pourquoi on me l’a pas enlevé ? Probablement parce que votre gynéco est une pétasse. Oh. Et pour ma fièvre vous me donnez quoi ? Du Doliprane. Oh. C’est pas comme si j’en prenais depuis quatre jours pour lutter contre ma mélasse interne sans grand effet, mais bon. Faites moi au moins un mot pour l’école. Ah vous faites pas le tier payant. Ca alors, c'est chouette.


20h :Je sors de chez le docteur et la pharmacie est fermée. Je décrète que c’était une journée de merde et qu’il faudrait que je picole pour oublier. Mais j’en ai marre de me réveiller avec un mal de crâne immonde. Je vais donc jouer à des jeux vidéo, c’est encore plus pourri que de boire parce que nullement poétique. Une idée chouette.


23h57 : « Le programme s’est interrompu inopinément ». Oh. J’avais pas sauvegardé.



Chouette.