mercredi, septembre 09, 2009

La vie c'est cool, la mienne plus que la votre.

Chère populace, mon petit lectorat adoré qui s’en tamponne de voir le Poniclub rester en friche pendant près de deux mois, nous te devons des explications.

En réalité, non on ne vous doit rien, mais ça me fait une bonne introduction pour me remettre à vous pondre des trucs inintéressants. Donc d’une c’était l’été, c’était les vacances et on avait autre chose à foutre, genre aller à la piscine, à la plage, angoisser pour l’avenir, baiser nuits et jours, manger des gâteaux ou du riz au lait, plutôt que s’éreinter à faire marrer les deux pelés et les trois chevelus qui daignent encore nous rendre visiter. De deux, on faisait genre on avait une ligne éditoriale. Sauf que les lignes éditoriales ça va cinq minutes, mais en vrai c’est chiant, c’est castrateur, et si tu veux raconter des histoires de vomi au milieu d’histoires de terrorisme ça devient complexe. Moi je dis que les lignes éditoriales c’est pour les gens qui n’ont rien d’autre à dire que ce qu’ils se cantonnent à dire (ceci était une phrase sponsorisée par l'association des aphorismes vide de sens de France et de Navarre). Et moi je veux pas être cantonnée malgré mon affection pour les rizières (pour ceux qui on pas compris la blague, relire la phrase précédente en remplaçant «cantonnée» par «cantonais». Ah et oui, pardon pour cette vanne miteuse.).

Présentement, j’ai tout un tas de choses à raconter malheureusement, ma flemme est proportionnelle au nombre d’inepties que j’ai dans mon chapeau.
Je vais me contenter de vous dire que je travaille actuellement pour une grande chaine de fast food américaine, non pas celle à laquelle vous pensez, et qui emploie des méthodes communistes, voire goulagistes pour augmenter notre productivité. Par exemple, pendant que vous passez la serpillère, des enceintes disposées dans toutes les pièces du magasin, que vous ne pouvez donc pas éviter, diffusent de quoi vous faire aimer votre emploi : « Merci patron », des Charlots.
Oui, tels des communistes, remercions notre grand chef parce que nettoyer la merde des autres, c’est cool.

Love sur vous et vos patrons les enfants.

1 commentaire:

Moi a dit…

Vive les sorcières de sable et le prolétariat.
Orologic.